Noirs, colorés, transparents, mouchetés, bi-color etc le vinyl est revenu à la mode ami lecteur tu as du t’en apercevoir si tu mets ton nez dehors au moins une fois par mois. On ne va pas prétendre avoir devancé cette mode, mais c’est vrai que l’objet est (souvent) magnifique et possède une âme que les CD (et encore moins les MP3) ne possèderons jamais. Le format, la texture, la pochette … bref, on aime. Et on en possède un petit paquet aujourd’hui depuis notre rencontre il y a 5 ans de cela.
Alors ce sera l’occasion pour nous, aux états unis (si si ami lecteur tu suis bien), de continuer notre petite collection de ces précieuses galettes.
Nous privilégions les petits disquaires indépendant,s qui distribuent des disques issus de labels eux aussi indés en France, alors pourquoi pas ne pas continuer là bas ? nos recherches nous ont donc permis de lister une petite vingtaine de disquaires, à visiter si le temps nous le permets, à Seattle, Las Vegas et San Francisco.
Dans tous ces disquaires un point de passage obligatoire pour Léa et moi : Easy Street Records, disquaire légendaire de Seattle, berceau du grunge et de Pearl Jam (mais si le groupe du chanteur de la BO d’Into The Wild : Eddie Vedder). PJ y a notamment enregistré un disque il y a quelques années … C’est bien simple, on y va une fois sortis de l’aéroport à peine arrivés ! (bon c’est aussi que c’est sur le chemin hein, on est hxc mais peut être pas à ce point là …)
Ca nous fera une bonne occasion de nous procurer les productions de certains groupes inconnus ici, ou qui ne se produisent pas assez souvent ! et comme les frais de ports sont une honte depuis les US vers la France, on devrait bien se gaver ha ha
Hey, lecteur, si t’as des adresses surtout poste un commentaire, ça nous intéresse au plus haut point ! Hey friend, if you have some good address, post a comment !
la bise !
Les disquaires repérés : (on vous commentera ceux qui valent le coup ou non une fois là bas)
Seattle : Easy Street Records, Bop Street Recods, Everydaymusic, Georgetown Records, Holy Cow Records, Jive Time Records, Radar Hair and Records, Silver Platters, Singles Going Steady, Sonic Boom, Wall of Sound
Las Vegas : Record City Online, Zia Records
San Francisco : Ameoba music, Aquarius Records, Axis Records and Comics, Green apple Book, Rasputinmusic, Recycled Records, Red Devils Records, Streetlight Records, The Music Store, Thrillhouse Records, 1 2 3 4 Go Records
4 Comments
Je sens que la carte bleue va méchamment chauffer outre atlantique… Mais au-dela de ça, c’est la balance de l’aéroport qd vous allez hisser la valise qui va hurler de douleur…(On est vite à 23 kg, croyez en mon expérience de transvasement de la valise au sac cabine devant le comptoir d’enregistrement !!!). Parfois pour éviter les surtaxes de bagages qui sont exhorbitantes, ça peut valoir le coup de s’envoyer un colis, style léa envoie à Cyril et l’inverse en n’oubliant pas de marquer « gift » dessus pour pas payer les taxes. (Je ne sais pas combien pèse un vinyle, selon pochette double ou pas). Faut voir.
En effet ça sent le vécu tout ça. Merci pour les conseils.
Oui c’est pas bête de s’envoyer un colis, on aura sans doute le temps de le faire à San Francisco.
Effectivement la carte bleue va chauffer … mais attends, tu n’as pas encore vu la liste des magasins repérés par Léa (et aussi un peu par moi … hé hé)
Toi tu me connais pas encore et surtout tu ne m’as pas encore vu rentrer de new york avec ma collegue à l’aeroport de Bâle avec la belle etiquette orange fluo marquée 《heavy》sur le sac. Bon, si tu es super gentil avec la madame ou le monsieur de l’enregistrement il te laisse passer avec genre 24 ou 25 kg, style il n’a rien vu, mais avec la fameuse etiquette.(les 2 dernieres années ça a marché). Bon faut pas les prendre de haut ni pour des cons, mais ca marche. Qd on part, on mets un sac cabine a roulettes dans le gd sac et qd on reviens, tout est blindé. Un sac de chaque côté, les bras qui trainent par terre, bon c’est un métier.